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Synthèse sur le syndrome de la guerre du
Golfe et des Balkans.
Pendant la dernière décennie, des guerres que l’on avait supposées propres ont eu lieu. Malheureusement, après une courte période de réjouissances pour les vainqueurs, certaines pathologies se sont développées chez plusieurs vétérans. Ces derniers accusent leur gouvernement de négligences importantes durant l’effort de guerre. Pb : Y a t’il vraiment un lien entre ces maux et les conditions de La guerre du Golfe a duré de janvier à février 1991. Elle s’est déroulée principalement au Koweït et en Irak. La crise éclata le 2 août 1990, lorsque l’Irak, dirigé par le présidant Saddam Hussein, envahit et annexa le Koweït. L’opération semblait viser à s’emparer des réserves pétrolières. L’Irak annexa le Koweït le 8 août. Entre août et novembre, le Conseil Général des Nations Unies exigea un retrait inconditionnel total du Koweït le 15 janvier 1991. L’ultimatum passé, une coalition multinationale forte de 500 000 hommes provenant des armées de terre, de l’air et de mer se rendit sur les lieux. Sous la direction du général américain H. Norman Schwarzkopf, la coalition multinationale déclencha des bombardements aériens de cibles militaires en Irak et au Koweït. Les pertes subies par la coalition furent relativement légères. Après avoir rejeté une série de conditions, la coalition fit libérer le Koweït. Le 28 février, date de suspension des opérations offensives, on dénombrait seulement 149 morts et 513 blessés parmi les soldats alliés. Il est encore trop tôt pour évaluer toute l'étendue de la dévastation infligée à la Serbie et au Kosovo par les missiles et les bombes des États-Unis. Chez les militaires serbes, le nombre de morts est évalué à 5.000, le nombre de blessés étant probablement deux fois plus nombreux. Au moins 1.500 civils ont été tués. Au cours de près de 35.000 sorties, l'aviation américaine, secondée par ses complices européens, a pulvérisé une vaste partie des infrastructures industrielles et sociales de la Yougoslavie. Le coût évalué de la reconstruction des infrastructures détruites par l'OTAN varie selon les diverses évaluations entre 50 et 150 milliards $US. Les économistes ont déjà calculé que sans assistance extérieure, la Yougoslavie aurait besoin de 45 ans avant même de pouvoir revenir au maigre niveau de prospérité économique qu'elle connaissait en 1989. En tout, 330 soldats sur 25.00 se sont présentés dans les hôpitaux militaires Français comme ayant des signes de maladies relatives au syndrome, soit 1,32% des soldats envoyés. a) Les symptômes.
Les symptômes sont très variés : les patients peuvent endurer une fragilité psychologique, une agressivité relative des dépressions comme les Vétérans de la guerre du Viêt-Nam , des problèmes dorsaux, des maux de tête, des problèmes musculaires, des insomnies, des douleurs osseuses, des anomalies sanguines, stress, mauvais fonctionnement des reins… Mais les maladies beaucoup plus graves peuvent survenir : des cancers ou des leucémies (dans certains cas foudroyantes), en effet, les cellules sanguines sont particulièrement sensibles et de petites irradiations peuvent faire de gros dégâts. Définition du cancer :

Prolifération importante et anarchique de cellules anormales qui ont la capacité d’envahir et de détruire les tissus et de se disséminer dans l’organisme. Les composés cancérigènes sont également responsables de ruptures et de translocations chromosomiques. De nombreux agents chimiques sont susceptibles de provoquer directement des cancers à la suite d’une seule exposition, tandis que d’autres sont des initiateurs de cancers, ceux-ci se développant souvent après une longue période de latence ou après la rencontre avec un autre agent dit promoteur. Les initiateurs produisent des modifications irréversibles de l’ADN, tandis que les promoteurs stimulent la synthèse d’ADN et l’expression des gènes. Toutefois, si le promoteur affecte l’organisme avant l’agent initiateur, son action est sans conséquence. L’organisme doit être exposé plusieurs fois à ces facteurs, après avoir rencontré l’agent initiateur, pour développer un cancer. Leucémie : Maladie cancéreuse caractérisée par une production
exagérée, par la moelle osseuse, de leucocytes («globules blancs») qui peuvent se disséminer dans le sang et envahir divers organes, particulièrement le foie, la rate et les ganglions lymphatiques. On ne connaît pas la cause exacte de la plupart des leucémies. Chez certains sujets, on retrouve un facteur déclenchant comme une exposition à des radiations ionisantes ou à une substance chimique toxique (le benzène, par exemple), ou un contexte d’infection par un virus. Il existe un type de leucémie où l’on a pu mettre en évidence l’existence d’un chromosome anormal dans les cellules cancéreuses, le chromosome Philadelphie, sans que l’on sache pour autant interpréter cette donnée avec précision. III] Les différentes causes possibles. (voir K7)
Il y a en tout 30 hypothèses possibles, ci dessous sont décrites a)Les facteurs chimiques.
Les facteurs chimiques sont la première hypothèse, en effet, pendant la guerre du Golfe, les soldats et les civils ont été pendant plusieurs fois en contact avec des éléments chimiques. La première cause plausible est l’incendie des puits de pétrole présents sur le site : pendant l’opération « Bouclier du désert », les Irakiens enflammèrent les puits de pétrole pour empêcher l’utilisation de ce pétrole par les pays de l’O.T.A.N. les fumées ainsi dégagées pouvaient être inhalées par les humains présents sur le secteur. La deuxième cause possible est le bombardement par les forces de l’O.T.A.N,des usines chimiques Irakiennes renfermant toute sorte de produits nocifs, pendant l’explosion les vapeurs et les fumées dégagées étaient transportés par les vents, ainsi à plusieurs kilomètres du lieu du bombardement, la nature pouvait être contaminée. Enfin, plusieurs rapports de missions Alliées signalent le bombardement par les Irakiens des bases des Nations Unies. « J’ai vu une explosion dégageant de la fumée verte », déclare un vétéran Français. Malheureusement pour les soldats, ceux-ci n’étaient pas de bonnes conditions : trop souvent habitués à de fausses alertes, les appelés ne faisaient pas attention et ne revêtaient plus leur combinaison, de plus, les outils contaminés n’étaient nettoyés. b) La Pyridostigmine.
Les armées Françaises, Anglaises et Américaines ont utilisé un médicament très puissant pendant tout le conflit : le Pyridostigmine. Il s’agit d’un antidote neurotoxique (qui lutte contre les effets des armes chimiques). Ce médicament se présente sous la forme de comprimés. Les Français affirment en avoir utilisé moins que leurs alliés, cependant, certains soldats français affirment qu’ils devaient en prendre sur ordre toutes les huit heures. Ils affirment aussi que ils devaient en prendre alors qu’ils ne savaient pas vraiment à quoi servait ce médicament. Tout le problème réside en ce que personne connaît les réels effets de ce contrepoison, en effet on sait que ce médicament est très puissant et que, mêlé avec d’autres produits il pourrait générer de graves troubles pour la santé (lésions du cerveau). De plus, ce médicament est tellement dangereux que le gouvernement français lui même a longtemps nié son utilisation au sein des troupes. c)L’uranium appauvri.
C’est la dernière hypothèse mais surtout la plus connue et la plus vraisemblable. Pendant la Guerre du Golfe et aussi celle des Balkans, des armes à l’uranium appauvri ont été utilisées Ces armes ont été introduites et testées en France dès 1979, arrivés au port de Cherbourg et venant des Etats-Unis. Une fois débarqués, elles on fait l’objet de nombreux tests dans deux centres d’essais : celui de Gramat (Lot) et celui de Bourges (Cher). Contrairement aux tests de Gramat, ceux de Bourges étaient à l’air libre (ce qui fait l’objet de critiques). Dans le site de Gramat, les conditions de test étaient plutôt bonnes, avec des sas de décontamination et d’autres systèmes visant à protéger les scientifiques et la population, cependant ont estime que trop de tirs de test ont eu lieu dans le centre de Bourges : il y a eu environ 1400 tirs d’essai à Bourges et 2000 à Gramat, mais le nombre exact est inconnu. Mais l’uranium appauvri est aussi utilisé dans la fabrication des blindages des chars. Ce qui entraînerait, lors de l’explosion, des émanations de poussière radioactive, qui sont aussi une cause potentielle d’intoxication. En juin 1990, les armes à l’uranium appauvri sont présentées au grand public sous le nom de « munitions flèches ». Presque aussitôt, en juillet 1990, l’utilisation de ce métal dans l’armement risque de déclencher une possible opposition internationale. Malheureusement, l’invasion du Koweït par l’Irak en août 1990, suivie de l’entrée en guerre de l’O.N.U le 17 janvier 1991, accélère le processus et l’Uranium est finalement utilisé dans un conflit. L’uranium appauvri présente un véritable intérêt pour les militaires. C’est un métal extrêmement dense puisqu’il est de densité 19 contre 11,34 pour le plomb qui est lui aussi considéré comme un métal très dense. Il est apparu sur le marché de l’armement comme une véritable arme contre les véhicules blindés. En effet, les obus ayant une tête à l’uranium appauvri ont une puissance prodigieuse. Ils sont tirés a la vitesse incroyable de Mach 5, ce qui veut dire qu’ils se dirigent vers leur cible à 1700m/seconde. Lorsque ils touchent leur cible, ils traversent facilement le blindage d’un char qui, pour être classifié dans la catégorie des tanks, doit posséder un blindage d’au moins 15 centimètres. Pendant que l’obus traverse le blindage, il se chauffe, s’enflamme, et finit par exploser a l’intérieur du blindé. Cette arme a bénéficié d’une prodigieuse publicité pendant la guerre du Golfe, puisque, utilisée par quatre véhicules mobiles de l’armée américaine, elle à prouvée son « efficacité ». Peu après, en mars 1991, les américains commencent à s’interroger sur la possibilité de contamination du Golfe, les français, quand à eux, ne voient que l'efficacité de ce projectile. Plusieurs choses sont troublantes lorsque l’on parle de l’uranium appauvri, tout d’abord, certains scientifiques affirment que l’uranium utilisé est, malgré le fait qu’il porte la mention « appauvri », très radioactif, puisqu’il est relativement proche de l’uranium « normal ». De plus des études ont montrés que les poussières d’uranium qui sont dégagées lors de l’explosion sont 4000 fois plus radioactives que l’arme elle même. Et lorsque l’on parle de la faible radioactivité de l’uranium appauvri, on ne dit pas qu’il est 600 fois plus radioactif que le sol serbe. De plus, certains affirment que « le fait de vouloir à tout pris percer le blindage est une imbécillité totale », car on sait depuis longtemps qu’un obus conventionnel suffit pour tuer les occupants. Il est donc inutile de vouloir utiliser des armes très puissantes et de chercher à tout pris de percer un blindage. Les dangers de l’uranium pour les personnes se trouvant aux environs sont multiples. Premièrement, l’uranium appauvri provient des centrales nucléaires, il s’agit enfin de déchets de celles-ci. Comme l’uranium appauvri est très abondant dans celles-ci, il est très bon marché et il y a donc beaucoup d’obus présents dans le monde ce qui accroît le risque de contamination. L’uranium appauvri n’est pas seulement radioactif, il est aussi très toxique. Quelque soit le mode d’entrée de l’uranium dans le corps, le premier organe touché est le rein (dû au caractère de métal lourd de celui-ci) mais les poumons peuvent aussi être touchés (caractère radio toxique de l’uranium). De plus lorsque les particules atteignent une source d’eau (une rivière), les risques de contamination sont multipliés par 4, et certains scientifiques ont fait le rapprochement entre ceci et le grand taux de personnes ayant un cancer et buvant de l’eau de ces rivières. IV] Le volte-face du gouvernement.
a) Le gouvernement nie tout en bloc.
Depuis le gouvernement a nié l’existence d’un quelconque syndrome, par exemple le gouvernement français à longtemps menti sur divers points : Le Ministère de la défense a longtemps nié que l’Irak à parfois riposté (pendant la Guerre du Golfe) à l’aide d’armes chimiques. Plusieurs soldats ont par contre affirmé que ils ont été victimes d’attaques aux armes chimiques, et de nombreux rapports de mission montrent que des attaques de ce type étaient monnaie courante. La pyridostigmine a elle aussi été longtemps caché par les pouvoirs publics. Ainsi le Pentagone dissimule les preuves et le gouvernement français dit que son utilisation a été très limitée, pourtant, les soldats affirment qu’ils devaient en prendre sur ordre toutes les huit heures. Cet antidote contre les armes neurochimiques était donc si puissant que l’O.T.A.N à longtemps nié toute utilisation. Beaucoup de gens pensent donc que les pouvoirs publics connaissaient depuis longtemps les risques de ce médicament et qu’ils l’ont caché pour ne pas devoir le retirer de leur stock. Enfin, c’est à propos de l’uranium appauvri que les pouvoirs publics ont le plus abusé l’opinion publique. Ils ont en effet essayé de masquer les preuves et de calmer la population. La France n’a jamais déclaré le véritable nombre de munitions qu’elle avait dans ces stocks : le ministre de la défense a déclaré que la France ne possédait que 60.000 obus, alors que, d’après certaines sources, les français possèdent 120.000 obus à l’uranium appauvri, et ceci en ne contant qu’un seul calibre, celui de 120 mm. De plus, lors de l’invention de ces obus, plusieurs experts avouaient que « l’utilisation de l’uranium appauvri dans les armes pouvaient engendrer certains problèmes ». Le fait est que depuis 1943 ont connaît les dangers de l’uranium et ont à remarqué les dangers de lors de la fabrication de l’uranium depuis 1960. Il est donc aberrant que le gouvernement dise que les experts ne connaissent pas les réels dangers de l’uranium appauvri. Et on a l’impression que l’administration s’est moquée de la population. b)L’aveu de certains risques.
Malgré l’essai de cacher certaines informations, l’affaire à fini par éclater au grand jour. C’est ainsi qu’ en 1995 le scandale éclate. Face a l’agitation de l’opinion publique, le gouvernement essaye de nier dans un premier toutes ces accusations. Ils finissent par déclarer que, si risques il y a, ils n’étaient au courant de rien pendant les faits. Etaient-ils incompétents et aveugles au point de ne pas voir qu’un char « traité » par un obus à l’uranium appauvri n’avait pas la même allure qu’un char détruit d’une façon plus conventionnelle ? De plus, on a appris récemment que les officiers étaient les seuls sur le terrain à être au courant. En effet, on à découvert une cassette vidéo qui montre aux officiers américains comment réagir lorsque ils s’occupaient d’une cible ayant subi une attaque à l’uranium appauvri. Il y est clairement expliqué que les soldats doivent prendre des précautions plus importantes que celles prises normalement : tel la décontamination… Dans le Figaro du 9 janvier 2001, le journaliste Pierre Bocev cite un document interne du ministère de la défense, qui se réfère à une mise en garde de l’Alliance en date du premier juillet 1999. L’Otan avait alors parlé d’un « possible danger toxique dans le maniement de véhicules atteints par des munitions à l’uranium appauvri et recommandé l’adoption de mesures préventives ». Malgré ces déclarations qui fragilisent la défense de L’Otan, certains se veulent rassurants. « Si on étudiait la population espagnole qui s’est rendue à Tolède ces sept dernières années, on trouverait beaucoup de cancers, non parce que ces personnes sont allées à Tolède mais parce que le cancer touche un tiers de la population. », déclare Luis Villalonga, un colonel du ministère du ministère de la défense espagnole. Le gouvernement britannique a quand à lui procédé à un virage à 180°, après avoir nié les risques de l’uranium appauvri, que l’armée a décidé de procéder à un examen complet de tous les soldats envoyés dans les Balkans et que le Marine va peu à peu détruire tous ces stocks d’obus à l’UA. Conclusion :
A l’heure actuelle aucune hypothèse n’est vérifiée. Néanmoins, il faut espérer que dans le futur des précautions plus draconiennes soient mises en œuvre. De plus, nous avons été déçus par l’attitude du gouvernement dans cette affaire, qui a été très irresponsable. Nous trouvons qu’il s’est moqué de la population et qu’il a joué aux apprentis sorciers avec certaines technologies qui sont encore peu maîtrisées. Connaîtra-t-on un jour les véritables causes du syndrome ? Aura-t-on un jour a faire avec un gouvernement ayant plus conscience

Source: http://www.etnoka.fr/qualified/attachment/88098/syndromeGG.pdf

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